2e Guerre mondiale

Novembre 1940 - novembre 1942

Mis à jour : vendredi 27 novembre 2015 08:22
24 décembre 1941, visite du général Weygand

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Garde d'honneur du Goum pour la visite du général à la kasbah de Taourirt

1941._Weygand_Nogues

 

C’est le 24 décembre 1941, que le général Weygand atterrit à Ouarzazate pour prendre contact avec ses officiers afin de leur donner la consigne de “Tenir bon dans le silence”.


Les silos des domaines agricoles avaient des double s fonds, et sous l’orge et le blé dormaient les mitrailleuses. Six tanks neufs, évacués de Marrakech, avaient été cachés dans la kasbah de Tamdakht, dans un mur tout simplement, un mur bien large et épais. Les commissions allemandes ne trouvèrent jamais rien.
Lors de sa visite, le général passa devant un groupe des quelques rares européennes présentes à Ouarzazate. Une patriote cria de sa voix claire où tremblaient les larmes : “Vive Weygand !”.
Le général s’arrêta, prit les deux mains de celle qui avait crié et, avec un sourire : “Non madame, ne dites pas vive Weygand, dites vive la France.

 

1941._Weygand_Nogues

Weygand
Le général Weygand en conversation avec le général Giraud


Marc Méraud.
Extrait de : Le Service des Affaires Indigènes au Maroc. Publi-Réalisations La Koumia 1990.
Le 1er novembre 1940, le gouvernement de Vichy, dans un souci de politique de camouflage de l’Armée française, dissout le corps des Affaires Indigènes et celui des Affaires Militaires Musulmanes, et crée le Corps de Contrôle des Affaires Indigènes.
Le képi bleu ciel est remplacé par une casquette kaki rappelant assez celle des contrôleurs civils. Les appellations militaires sont supprimées : on ne dit plus : le capitaine x... ou le lieutenant y... mais le contrôleur de 1ère classe x..., l’adjoint de 2ème classe y... Est conservée la hiérarchie des Affaires Indigènes, officiellement s’entend.
Suivant une Instruction Résidentielle du 30 août 1940, les méhallas chérifiennes, créées en août 1940, comme unité de police chargées d’assurer l’ordre et la sécurité en tribu (afin, par ce biais, d’échapper à la réduction des effectifs de l’Armée française exigée par les Allemands), sont également démilitarisées. Les officiers des méhallas (goums et makhzen) sont contrôleurs, les sous-officiers sont des agents des Affaires Indigènes.
Toutes ces instructions résidentielles se résument à du camouflage car rien ne change. Dans les postes, les annexes, les cercles, les régions, dans les goums et les unités makhzen, les officiers des A.I., devenus civils en apparence, continuent de remplir leur même mission sur le terrain. (voir général Guillaume, homme de guerre)
En fait, la mission de l’officier des A.I., sous le vocable de contrôleur, s’est encore accrue. A sa mission permanente, relative à l’application du Traité de Protectorat, s’ajouta une autre : accroître clandestinement le potentiel militaire des forces française au Maroc, aux fins de reprendre un jour les armes contre l’Allemagne.
Dans tous les Bureaux, dans les territoires civils comme dans les territoires militaires, des armes en grande quantité sont cachées. A ce travail de camouflage, qui comporte des risques sérieux pour les intéressés, participent activement les contrôleurs civils.

Décembre 1940. La visite du Résident général Noguès

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1941._Nogues

Le général Noguès, accompagné du général Martin, en visite
au bureau des Affaires Indigènes de Ouarzazate

Archives Balmigère



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Le général Noguès

Au cours de l’été 1936, à la suite de nombreuses pressions, entre autres, la visite à Paris d’une délégation du Rassemblement populaire du Maroc pour exposer la situation au Protectorat, le résident Peyrouton, que les mauvaises langues disaient également un peu trop porté sur le whisky, fut rappelé et nommé ambassadeur de France en Argentine.
Dès que fut connue la nouvelle de son rappel, des manifestations de colons, commerçants, industriels, eurent lieu à Casablanca. Des pétitions circulèrent pour réclamer son maintien à Rabat. Bien qu’à la Bourse du Commerce, des bureaux restèrent ouverts en permanence pour recueillir les signatures, rien n’y fit et le général Noguès fut nommé à sa place.
Noguès fut acclamé par des milliers de travailleurs marocains et européens massés tout le long du parcours, du port où il avait débarqué d’un navire de guerre jusqu’à la Maison de France; mais il fut fraîchement accueilli par les clans de droite qui reprochait à ce soldat, formé à l’école de Lyautey, sa nomination par le gouvernement du Front populaire. Il donnait l’impression d’être sec et froid; en réalité, c’était un homme réfléchi qui possédait les qualités indispensables à un homme d’Etat : la souplesse et le sang-froid. Il eut le souci constant d’établir des relations confiantes et cordiales avec les Marocains mais il mesura sans doute bien vite son impuissance devant la Haute Finance et les milieux réactionnaires qui menaient alors le Protectorat.
Donc, en septembre 1936, le général Noguès est nommé Résident. A l’inverse de ses prédécesseurs qui ont suivi Lyautey, il a passé de longues années au Maroc. Disciple du Maréchal, il reprend ses méthodes, renouant des contacts avec le Palais, qui se traduisent par une confiance réciproque, et, fréquemment également, avec tous les milieux marocains. Par un arrêté du 19 septembre 1940, il renforce les pouvoirs des chefs de Région, c’est-à-dire la mission des autorités de contrôle, civiles et militaires. Il entreprend et mène à bon terme, l’admirable camouflage de l’armement d’une armée devenue clandestine.
Il tient à tout contrôler : “Le général Noguès est le dernier Résident général à avoir réussi à établir sur l’ensemble des directions un contrôle général, assisté d’une très puissante Direction des Affaires Politiques devenue en réalité un Secrétariat général qui examinait l’effet que toute mesure pouvait avoir sur la vie des Marocains. Un tel contrôle n’était d’ailleurs supporté qu’avec impatience. La période du grand développement économique du pays depuis 1945 a vu définitivement pencher la balance en faveur des directions techniques qui ont repris, en fait, une autonomie créatrice que seule parvient à sa manière, la Direction des Finances.
Ces lignes de Robert Montagne en 1953 exprimaient bien la réalité que les officiers des Affaires Indigènes ressentiront après le départ de Noguès : la politique allait désormais s’affaiblir au profit de l’administration et de l’économie.

Souvenirs de la période Vichy
Ptain

1942. Mariage au mess des sous-officiers

On remarque le Père Bonaventure, franciscain, aumonier de la Légion
Archives Decordier

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En résidence surveillée à Ouarzazate, 1941-1942

Le Comte de Paris (domaine à Larache) fut assigné en résidence surveillée à l’hôtel du Sud, pendant la Seconde Guerre mondiale.
La comtesse Ruspoli, italienne, en villégiature dans sa propriété à l’Ourika, également...
La comtesse Oliveri, italienne, qui avait épousé l’ingénieur Chein (en poste à Ouarzazate), également...
Idem pour des officiers et des sous-officiers de l’Afrika-Corps, prisonniers à Ouarzazate, enfermés dans des baraquements au Nord du casernement du bordj de Ouarzazate. La chapelle se trouvait juste en dessous de l’autre côté de la rue.
1941, un jeune employé des P.T.T. muté à Ouarzazate pour raison disciplinaire
En 1941, la propagande au Maroc contre Vichy se manifestait par tracts et affiches. Ces manoeuvres séditieuses et répétées, en particulier dans le quartier de la Résidence où se trouvaient les services gouvernementaux, l'Etat Major et la somptueuse villa du Général Noguès, irritaient fort ce dernier.
Procédant par ordre, les services de police recherchèrent d'abord la source des tracts, et mirent ainsi la main sur Thouret, un imprimeur. Au cours d'un interrogatoire musclé, et devant la menace de représailles sur sa famille, le malheureux fut bien obligé de reconnaître ses activités et la participation d'autres membres du réseau.
Le 24 Juin, un certain Mickey Pascouet fut arrêté à son guichet des P.T.T. et conduit, menottes aux mains et à pied, à travers la ville jusqu'au Commissariat Central. En définitive, à l'exception des jeunes affectés au collage de tracts, l'ensemble du réseau de résistance se retrouva sous les verrous. L'enquête, menée avec diligence selon les instructions données en haut lieu, avait en effet réussi à démasquer tous les membres de la filière et à débusquer les militaires en situation irrégulière.
L'audience fut fixée au 28 octobre 1941. Comme il y avait une trentaine de prévenus dans le box, il fallut s'attendre à de nombreux incidents d'audience. Entre autres, Pascouet père prit le tribunal à partie : “Rappelez vous bien : un jour, c'est vous qui serez à ma place et moi à la vôtre”. Le Commissaire du Gouvernement, le colonel Laroubine, n'apprécia pas du tout.
Jugement rendu le 30 au soir. Pendant que son père restait en prison, Mickey, en raison de son jeune âge, et quelques autres délinquants primaires, bénéficièrent du sursis et furent relâchés. Les condamnés furent transférés vers la prison centrale de Port Lyautey. Le jeune Mickey se retrouva sur le pavé, sans situation, mais avec charge d'âmes (sa marâtre et ses deux jeunes frères).
Dans un premier temps, les P.T.T. refusèrent d’abord de reprendre ce pestiféré de gaulliste.
Huit jours plus tard, ils se ravisèrent et on l'emmena, manu militari, devant le chef du personnel qui lui annonça son affectation à Ouarzazate, où il serait plus facile de le tenir à l'oeil. Transport sous escorte policière jusqu'à Marrakech, puis embarquement dans l'autocar pour Ouarzazate.

Dans cette villégiature, ce furent plutôt les distractions qui manquaient. En plus de Mickey, deux autres agents des P.T.T. y étaient en résidence surveillée pour raisons disciplinaires. Ouarzazate n'était relié au reste du monde, outre les moyens télécom civils et militaires, que par un autocar quotidien dont les passagers étaient étroitement contrôlés, au départ comme à l'arrivée. Cette partie de la haute vallée de l'oued Drâa était vraiment désertique, et il n'était pas question de s'y aventurer à pied. Ouarzazate, à l’époque une vraie prison naturelle.
Des camions benne y transitaient régulièrement, transportant du minerai de Bou-Azzer vers Marrakech. Mickey songea alors à une évasion comme celles qu'il avait mise sur pied quelques mois auparavant à Rabat pour un ami : les bennes étaient équipées dans le fond d'un vaste coffre à outils où un homme pouvait facilement tenir. Le tout était de s'assurer la complicité du chauffeur car la cachette n'était accessible que lorsque la benne était vide. Cela s’arrangea avec l'un d'eux, ancien combattant de la guerre de 14-18. Il se chargea quand même auparavant d'assurer un minimum d'aération par quelques trous percés dans le fond. Heureusement, fin avril, ce n’étaient pas encore les grosses chaleurs, et le voyage ne serait pas trop pénible.
A fond de la benne, Mickey descendit donc vers Bou Azzer pour le chargement du minerai par dessus son coffre, puis ce fut le retour vers Ouarzazate, d'où, sans s'attarder, le chauffeur fila vers Marrakech. Douze heures de voyage, mais, à l'arrivée, après le déchargement à la gare ce fut la liberté pour Mickey.
Retour discret à Rabat où Mickey retrouva sa famille et celles d'autres condamnés dans le plus complet dénuement car tous leurs biens avaient été confisqués à la suite du jugement et les relations, voire même les amis, leur avaient tourné le dos.  Malgré ces moments difficiles, Mickey Pascouet s’illustrera par la suite dans un réseau de résistance chargé de fournir des renseignements aux Américains pour leur futur débarquement de novembre 1942.
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1942. Un général assigné à résidence

Le général Gamelin et son épouse, ainsi que le commandant Petibon, ont passé la nuit à l’hôtel Aletti d’Alger. À 11 heures du matin, un Caudron Goéland, décollant de Maison-Blanche, emmène l’ancien généralissime et sa femme à Biskra, “la Porte du Désert”. Deux chambres et une salle de bain formant suite ont été réquisitionnées pour eux à l’hôtel Transatlantique : Gamelin est le premier des généraux vaincus à faire l’objet d’une mesure de “saharage”. Encore le général de Gaulle, qui lui demeure reconnaissant de l’avoir nommé au commandement de la 4e DCR en dépit des cinq galons qu’il portait alors, a-t-il commandé qu’un traitement de faveur soit réservé à l’ex-généralissime.
Le général Corap sera laissé en Métropole; les Allemands le feront prisonnier à Paris.
Le général Freydenberg (ancien grand chef de la pacification dans le Riff) sera assigné à résidence à Ouarzazate dans une auberge sans eau courante.


Message du Général Noguès du 11 novembre 1942, à 20 h.
suite au débarquement américain en AFN, au cours duquel les troupes françaises du Maroc ont, suivant les ordres de Vichy, essayé de tenir tête aux assaillants.

Français et Marocains
Cette nuit, je vous ai fait savoir que sur instruction du Commandant en Chef des Forces Armées, uneNogus_Nov._1942 suspension d’armes venait d’intervenir sur l’ensemble des opérations en A.F.N.
Vous connaissez les événements tragiques de ces trois derniers jours. Si notre marine, notre aviation, notre armée ont du s’engager dans la lutte contre les forces puissantes d’une nation dont l’histoire est étroitement liée à la nôtre, c’est qu’elles avaient juré de défendre le Maroc et l’A.F.N. contre toute attaque de quelque côté qu’elle vint; c’est qu’elles ne connaissent d’autre lois que celles de leur serment, d’autre discipline que l’honneur du drapeau.
Elles se sont battues par esprit de devoir avec un courage auquel, de toutes parts, il a été rendu hommage. Marchant côte à côte, les troupes françaises et marocaines ont une fois de plus, témoigné de leur bravoure légendaire, leurs morts devant lesquels je m’incline, vous permettent de garder la tête haute.
L’ordre a été donné de cesser la lutte. L’effusion d’un sang précieux a été arrêtée. Je dois, cet après-midi, rencontrer le Commandant en Chef des troupes américaines. Nos Chefs militaires conservent leur commandement. L’armature politique et administrative du pays reste en place.
Conformément aux dispositions prises et aux consignes données, la vie normale du pays, son activité administrative et économique doivent se poursuivre. Les communications, la lumière, l’eau, la force électrique seront rétablies partout où elles manquent. Le ravitaillement est assuré.
L’ordre sera strictement maintenu. Selon les prescriptions de l’état de siège, aucun rassemblement, aucune manifestation ne seront tolérés. Mais le meilleur garant de l’ordre, c’est l’union des esprits et des cœurs. Je suis sûr de ne pas faire inutilement appel à votre sens de la dignité et du devoir, des familles sont en deuil, respectez la mémoire de ces morts
Que chacun demeure à son poste, que chacun évite de propager de vaines rumeurs. Que chacun prenne l’engagement de bannir les querelles et les rivalités politiques qui constitueraient une arme contre le pays.
Dans un message aux Français de la Métropole et de l’Empire, hier soir, la voix du Maréchal s’est fait entendre. Le Chef de l’Etat nous a convié à ne pas douter des destinées de la Patrie, quelles que soient les vagues qui déferlent sur le pays, restons fidèles, restons tous serrés autour de celui qui, nous ayant sauvé à Verdun, symbolise la France Éternelle; autour de Sa Majesté le Sultan, qui, en ces jours d’épreuve, a donné aux représentants de la France, l’appui le plus complet et le plus loyal.
Vive la France !  Vive le Maroc !

Rabat le 11/11/1942. Signé : Noguès
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Le docteur Amadou Karim Gaye (novembre 1913 - octobre 2000)

Cet homme politique sénégalais, fut tour à tour docteur vétérinaire, militaire, et ministre au Sénégal à plusieurs reprises.
Carrière militaire
Ayant mémorisé le coran à l'âge de 12 ans, il réussit à convaincre son père de l'inscrire à l'école européenne à une période où il était mal vu dans certains milieux traditionnels, fortement imprégnés de culture islamique, de fréquenter l'école des “blancs”. Il fut l'un des premiers boursiers à faire des études universitaires en France.
Diplômé de l'École nationale de médecine vétérinaire de Maison-Alfort en France, il passa ses étés en stage chez le docteur Luquet à Rouen. Il était, avec les Léopold Sédar Senghor, Ousmane Socé Diop et autres Birago Diop, de la première génération de bacheliers sénégalais d'avant-guerre qui, pour la plupart, poursuivirent leurs études en France. Il obtint également le diplôme de l’Institut d’élevage et de Médecine vétérinaire exotique.
Le 15 octobre 1938, il est élève officier à l'École des officiers français de cavalerie de Saumur.
Le 15 mars 1939, il est nommé vétérinaire sous-lieutenant de réserve.
D'avril 1939 à septembre 1939 il est affecté dans les troupes françaises du Maroc au Service vétérinaire de la place de Marrakech.
Le 2 septembre 1939, il est nommé chef du service vétérinaire du 6e RTS à Rabat.
Le 14 avril 1940, il est chef du service vétérinaire du territoire de Ouarzazate.
Le 22 juillet 1940, il est nommé chef du Service vétérinaire du Tafilalet à Ksar El Souk.

Il est ensuite affecté dans les troupes françaises de l’Afrique occidentale française. Une mutinerie de tirailleurs sénégalais nécessita le retour des troupes au Sénégal. Il rentra au Sénégal à cette occasion.
De novembre 1940 à novembre 1946, il est placé en position de vétérinaire sous-lieutenant hors cadre. Il est versé dans le corps des vétérinaires-inspecteurs des services de l’élevage et des industries animales de la France d’outre-mer.
Le 1er avril 1946, il est promu vétérinaire lieutenant. Le 1er avril 1956, il est promu vétérinaire capitaine puis vétérinaire commandant pour prendre rang à compter du 1er avril 1962.
Ensuite carrière comme ministre dans différents gouvernements du Sénégal.

Archives Decordier

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Autorisation de résidence à Ouarzazate
pour la famille Decordier
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Déclaration du Résident Général Noguès
pour le 11 novembre 1940

1941._Weygand_Nogues

Procès verbal de mise en bière à la suite d'un décès

A Marrakech, le commandant Frandon dirigeait le Groupement d'aviation 1/23, secondé par le capitaine Hoche. La commission d'Armistice avait prévu de doter le Groupe de 13 LéO 451, il en reçut 14. Il faut savoir que la commission d'Armistice était installée dans l'hôtel Balima. Et le service de renseignement français avait installé un service d'écoute dans les caves de l'hôtel. Aussi le Groupe était-il informé des futures visites "à l'improviste" de la commission à Marrakech. Ce qui permettait d'envoyer avions et matériels et équipage en supplément sur la Base de Ouarzazate.
Source : Mangin2marrakech.canalblog.com


Je recherche des personnes ayant eu quelqu’un de leur famille en poste à Ouarzazate ou dans son “territoire”, autant militaire que civil. Si elles veulent témoigner, ce site est à leur disposition. Textes et photos seront les bienvenus. Évidemment votre participation passera sous votre nom.
Merci pour votre attention. Jacques Gandini.

 

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Remerciements

Merci à Madame Balmigère, à Madame Decordier, à Monsieur Lafite, à Madame Kerhuel et à Pierre Katrakazos pour avoir accepté de mettre leurs archives familiales à disposition. Sauf indication contraire, les documents reproduits font partie des archives de l’auteur.